Article proposé par JeanClaudeGrognet, paru le 29/11/2021 17:46:02 Rubrique : Les références > Dressage : technique, lu 1952 fois. 8 commentaires |
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" L'opinion est quelque chose d'intermédiaire entre la connaissance et l'ignorance " (Platon) |
Renaud Vinck réagit aux 2 articles d'attelage.org, faisant part des principes de dressage de Gustav Steinbrecht. L'enseignant adhère aux paroles de l'écuyer allemand, et apporte des précisions et des définitions à quelques mots clés régulièrement utilisés dans la littérature équestre. Il fait le lien, en soulignant la porté importante des paroles de l'enseignant auprès des élèves, parole qui doit baliser le chemin vers la connaissance.
A la fin de l'interview, vous trouverez les notes prises par Anne Calvez lors d'un stage avec Renaud Vinck. Quelques commentaires pris sur le vif à destination des élèves, une séance de travail sur le contact, le couloir des aides, en avant sur les 2 rênes, et ma conclusion ...
Compte rendu de l'échange avec Renaud Vinck sur l'Ecole allemande d'équitation
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« A mon sens l'Ecole de Steinbrecht est moins dangereuse à suivre que l'école de Baucher, cette dernière s'adressant plus à une élite de l'équitation. Steinbrecht pratique une équitation « dans le mouvement ». Elle est aussi plus abordable pour le cavalier ou le meneur amateur. Je me sens tout à fait proche des principes délivrés dans les deux articles d'attelage.org sur l'Ecole allemande. J'aime bien aussi ce que Tony Ecalle a écrit, je voudrais toutefois apporter un complément concernant l'impulsion. En effet on oublie souvent que la qualité à développer c'est la propulsion délivrée par l'arrière main du cheval. C'est un message que je passe à mes stagiaires. Impulsion n'est pas vitesse, mais il faut se préoccuper de la propulsion.
L'impulsion c'est le désir permanent que le cheval doit avoir de se porter en avant. L'impulsion est le signe d'une envie. Comme le dit Guillaume Azéma (*), c'est le sentiment « d'avoir du vent dans les voiles. Il faut avoir du vent dans les voiles pour faire avancer son bateau, il faut avoir du vent dans les voiles lorsque l'on veut dresser un cheval ». Un cheval dans l'impulsion, c'est aussi quelque part le signe d'une intégrité physique et d'une bonne attitude mentale du cheval envers son dresseur. En effet, il n'y a pas de véritable impulsion sans une coopération du cheval avec son cavalier ou son meneur.
Peut-être que la seule différence que nous avons nous français avec l'Ecole allemande, c'est d'attacher sans doute plus d'importance à cette "coopération" du cheval. Mais cela ne mériterait un échange approfondi avec des experts de l'Ecole allemande. Peut-être que la seule véritable différence qui existe entre nos deux cultures, latine et germanique, c'est que les germains sont plus rigoureux que nous dans le travail des chevaux.
(1) Voir note de la rédaction en bas de l'article
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La propulsion c'est la capacité motrice de se propulser en avant, elle doit s'inscrire dès le début du dressage du cheval. Lorsque que le cavalier ou le meneur ont réglé la question d'avoir un cheval disponible dans l'impulsion, tout sera alors possible pour lui apprendre la suite de l'alphabet du dressage. J'attache aussi beaucoup d'importance à la rectitude et à ce que la propulsion ne s'échappe pas latéralement, et qu'ainsi cette propulsion soit à l'entière disposition du mouvement en avant, mais aussi de l'équilibre et de la justesse du mouvement à exécuter: que ce soit un cercle, une épaule en dedans ou une épaule en avant pour ce qui concerne l'attelage. Le cavalier aura la même préoccupation pour exécuter des mouvements plus complexes, appuyers, changement de pieds, et pour l'équitation supérieure, le piaffer ou le passage. Alors le cavalier très averti puisera dans ses connaissances et les paroles de François Baucher ou de Gustav Steinbrecht.
Il faut faire attention aux messages que nous passons, nous enseignants à nos stagiaires. Tout le monde n'est pas capable d'appréhender à leurs justes valeurs des paroles, des messages, ou des écrits par un défaut de savoir de l'élève. Selon le niveau de l'interlocuteur, il faudra accompagner les messages par une explication plus ou moins approfondie, afin d'éviter les dérives et les mauvaises interprétations. Celui qui a beaucoup de connaissances va intégrer en une seule émotion, une seule image, une seule action, une seule phrase, tous les paramètres de l'équitation juste: impulsion, propulsion, équilibre, rectitude… Alors que le meneur, le cavalier plus novice peut s'accrocher sur un mot, interpréter, amplifier et mal agir sur le cheval. Bien monter un cheval ou bien mener un cheval c'est de gérer tous les paramètres en même temps, et c'est en cela que l'équitation est complexe. Dès lors on ne peut pas la simplifier. L'apprentissage ne peut donc se faire que par morceau, avec les grandes règles transversales que sont impulsion, propulsion, rectitude, équilibre qui sont les préoccupations permanentes dans toutes leçons de l'enseignant à destination de l'élève.
Steinbrecht est un maitre de l'équitation moderne et mondial. Il faut que le lecteur possède de bonnes connaissances pour bien interpréter ses leçons. Voilà pourquoi je pense, qu'il y a pu et qu'il peut y avoir des dérives par des lecteurs qui n'ont pas encore acquis une vision suffisamment globale du dressage du cheval. C'est tout le problème qui se pose aux meneurs ou aux cavaliers autodidactes : choisir dans cette jungle à messages multiples et contradictoires délivrés par les enseignants (ou ce qu'il en reste), les juges et les concours . Je vous invite à vous approcher de Guides ou d'enseignants s'appuyant sur une méthode puisant dans Steinbrecht ou Baucher, pour fabriquer votre propre équitation attelée, en écartant les Guides ou les enseignants empiriques. Mais moi Renaud Vinck, je préconise la voie de Gustav Steinbrecht, celle du mouvement en avant, avec la préoccupation permanente des piliers du dressage du cheval, propulsion, équilibre, rectitude.
* Mes remerciements à Guillaume Azema chercheur à Lirdef qui m'a ouvert les portes de la compréhension de l'équitation ». Renaud Vinck
1 Note de la rédaction: pour ce qui concerne la captation de la coopération du cheval, on la trouve dans l'Ecole allemande sous la plume d' Aloïs Podhajsky (L'Equitation), cet écuyer autrichien de l'Ecole Espagnole de Vienne qui dit à propos des récompenses :
« Le cavalier a dans la récompense, toute une gamme de possibilités, de la caresse aux friandises. Les chemins sont multiples qui permettent de gagner la confiance et l'amour du cheval et d'intensifier sa joie dans le travail.
Le cavalier réfléchi constatera vite que, non seulement les chevaux sont reconnaissants de toute récompense, mais encore s'en trouve encouragés à faire des efforts pour contenter leurs maîtres.
La récompense doit suivre immédiatement l'occasion qui la justifie, si l'on veut qu'elle ait de la valeur. Beaucoup de cavaliers considèrent comme chose toute naturelle ce que leur cheval a fait de bien. Quelle erreur ! ».
" La Théorie c'est le savoir, la pratique c'est le savoir faire, c'est toujours la connaissance qui doit précéder l'action" (Aloïs Podhajsky) |
Gustav Steinbrecht n'aborde pas précisément dans son ouvrage « Le gymnase du cheval » le sujet de la coopération du cheval mais dans le chapitre consacré au « Débourrage du jeune cheval, développement de la force de propulsion dans le placer naturel », l'auteur dit :
« Le dresseur idoine préservera l'animal de toutes les impressions qui peuvent influencer défavorablement sur sa sensibilité et son caractère, tandis que le cavalier inexpérimenté non seulement rendra, par sa dureté et son manque de tact, tout mouvement infiniment difficile au cheval, mais encore très souvent déposera en lui le germe de toutes les résistances qui, plus tard, seront si difficiles à éliminer et, par la suite sont tellement redoutées ».
Notes prises lors du stage de Renaud Vinck à Fenicat en février 2020, par Anne Calvez
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* Ces notes sont une transcription de paroles prises sur le vif lors du stage. Le lecteur va devoir se familiariser avec le caractère spontané des échanges, mais l'essentiel ce sont bien messages de l'intervenant!
Anne Calvez |
RV: " Tu t’équilibres et c’est ça que tu es en train de lui dire. Dans la position que tu as, tu avanceras, car tu ne fais pas le choix de freiner, mais tu t’équilibreras et c’est comme ça que tu vas passer ta transition. Dans ta transition trot moyen- trot de travail ".
L'élève: Est-ce qu’on laisse le cheval s’équilibrer tout seul ?
RV: " On va lui apprendre. Tourner c’est avancer et s’équilibrer. Parce que ce que vous allez lui proposer là c’est enfermer, limiter son mouvement en avant. Et il n’y a pas un être vivant qui aime s’enfermer. Ça n’existe pas. Un être vivant ça aime être libre, ça aime, et ça c’est une chance. Le cheval aime coopérer. Quand on lui fait des trucs des propositions, machin, il adore ça. Mais si vous lui proposez un truc hyper chiant comme faire le tour de la lisse, il dit « ben là l’autre derrière moi ... il est pénible à souhait, comme c’est pas permis, et moi je n’ai pas envie de le faire. Il ne va pas aimer le "rien" puis "l' énormément" , et encore "rien" puis "énormément" ! Dans un tournant de 40 m et un tournant de 10 m, ce qui change ce n’est pas le diamètre du cercle, c’est l’équilibre du cheval. Donc si vous, quand vous tournez serré, je ne suis pas en train de vous voir faire ce qu'il faut pour rééquilibrer le cheval, le cheval ne pourra pas le faire, et vous allez vous mettre à tirer, parce que vous n’avez pas le choix, parce que vous n’avez pas fait le choix de l’équilibre. Et quand vous n'êtes pas dans l'équilibre et bien lui qu’est ce qu’il va faire ? Et bien, soit il va se jeter là..., où il va partir là... mais il y a un truc qui est sûr, c’est qu’il ne va pas aller là où vous voulez ".
L'élève: Oui c’est vrai, tu nous as déjà dit de faire des alternances de grands cercles et de petits cercles...
RV: " Alors là c’est là que je vois que les choses commencent à rentrer! on se crée des problèmes parce que quand vous allez créer des problèmes, vous allez créer de l’apprentissage. Si vous vous faites des longueurs, là, c’est double zéro au niveau de l’apprentissage. Ça vous sert à rien hormis fatiguer votre cheval, l’ennuyer, ne pas le rendre perméable. Donc forcément quand vous allez lui dire maintenant on fait la reprise.. ce que vous faites là à la détente ça doit être 10 fois supérieur à la reprise. Et là il faut les rendre disponibles.
Mais moi ce que je vous reproche, c’est que lorsque vous êtes sur un tournant, vous êtes sur une rêne, jamais sur les 2. C’est-à-dire que vous corrigez, et vous avez tendance à garder, en fait, vous faites plutôt ce que lui a appris à faire vous faites du camouflage. Je tiens, donc tu tiens, il faut pas trop.. on a l’impression que c’est correct, mais c’est du camouflage.
Ça veut dire que quand je vous vois évoluer, que vous soyez à main gauche, que vous soyez à main droite, ou que vous soyez en train de faire une ligne droite, moi je dois voir un petit personnage qui doit toujours être en train de dire « « ho, va un peu là, va un peu là, ouais mais fais attention à ton équilibre, va un peu là, ouais mais va un peu là ».
Moi je dois vous voir toujours sur vos 2 rênes, et les guetter. Tu vois c’est ce que je te disais : Votre contact ne doit jamais être sur une rêne.
Et si vous n’êtes que sur une rêne, vous n’êtes pas en train d' aider votre cheval, vous êtes en train de le foutre dans la difficulté, parce que vous vous êtes en train de le déséquilibrer.
L'élève: Du coup c’est quoi la bonne notion de contact ?
RV: " Ah, ça c’est une question intéressante. Il y a quelqu’un qui peut nous parler de la bonne notion de contact, c’est Suzanne. Chaque cheval a son contact, il y a des chevaux qui vont aimer le contact, d’autres ne vont pas beaucoup aimer le contact, ce sera un peu délicat. On peut aussi tomber dans le sport national et vous changez sans cesse les embouchures ".
L'élève: Normalement avec n’importe laquelle des embouchures ça peut le faire ?
RV:" A chaque fois que je prends un poney la première chose que je fais, c’est ne pas changer l’embouchure.
Quand je prends vos poneys je ne vais pas chercher un mors, je prends un mors, et ça y est, on y va . Je vais mettre un truc standard. S’il y a une notion de sécurité, plutôt partir sur un mors droit, s’il faut m’arrêter… parce que c’est un jeune cheval, on ne sait pas trop, je vais voir comment il va être.
Quand je vais mettre du contact il faut qu’il ait envie "de faire ça" et "pas de faire ça". Il faut qu’il ait envie de rencontrer quelque chose qui ne lui donne pas envie de fuir. Mais mon contact, mon jeune cheval, la première chose que je vais lui apprendre c’est d’être toujours sur mes 2 rênes. Il doit tout le temps se passer des trucs, autant sur ta rêne droite que sur ta rêne gauche. Moi ma principale qualité c’est d’être fainéant. Moi je fais un truc que vous ne faites pas. Quand je monte sur votre voiture, avec votre bestiole, là, moi je me mets au bout, et c’est lui qui me dit. Moi je ne réfléchit pas à ce que je vais faire. Moi je me mets au contact et quand je me mets au contact, quelle est la première chose que le cheval va faire ? La première chose qu’il va faire c’est s’arrêter. En fait, quand je prends le contact tu dois apprendre à avancer sur le contact, parce que sinon comment on va faire ? Donc c’est la première chose que je vais lui dire. Ou quand je prends le contact, le cheval se sauve, je vais lui dire, hé ! c’est pas un accélérateur, quand la main elle arrive, tu ne fuis pas.
Quand la main elle arrive elle doit servir comme un outil de communication. Et puis la 2e chose que je vais faire, c'est le faire évoluer entre mes 2 rênes. Comment alors qu’on est sur les 2 rênes lui donner l’indication qu’on va le plus d’un côté que de l’autre ? Il y a un monsieur qui a fait beaucoup pour l’équitation, c’est Vital Lepourriel, parce que Vital, lui, quand vous l’écoutiez la première chose qui lui venait à la bouche c’était le code, le code. C’est là qu’il faut le codifier. Il faut que votre cheval ait envie de rester dans votre couloir, et donc il va falloir lui dire que quand il va là il faut aller par là, quand il va là, faut aller par là. Et là on rentre dans la biomécanique, du cheval, qui est valable en équitation comme en attelage. Le cheval est constitué de 2 pattes de derrière et de 2 pattes de devant. On va s’occuper du moteur, parce que qu’est ce qui est important ? Avancer !
Et bien le cheval va mettre de la propulsion, et si on tire là, sur le côté droit, on va favoriser l’avancée de quel postérieur ? Le gauche. Si vous tirez à droite ça ne va pas favoriser le droit, c’est le contraire.
Quand j’agis sur ma rêne droite je mobilise mon postérieur gauche, quand j’agis sur ma rêne gauche je mobilise mon postérieur droit. Je me suis rendu compte que les élèves quand tu leur dis ça, ils vont communiquer sur une seule rêne, et ça c’est le drame, le cheval doit être entre les 2 rênes. Un tournant à droite il n’est pas fait que de ma rêne extérieure, il est fait de ma rêne extérieure et de ma rêne intérieure. Donc ma rêne extérieure ne peut pas être vide, par ce que si elle est vide c'est le signe que je ne suis que sur une rêne. Quel est le meilleur garant d’être sur vos 2 rênes ? Vous, parce qu’il suffira de vous poser une question : est-ce que dans mon contact je suis sur les 2 côtés ? non? alors là le gyrophare il s’allume, alerte il y a le feu dans la maison! Cela veut dire que la notion d’être entre les 2 rênes n’existe pas. C’est le meneur concentré qui peut l’observer. Chaque fois que vous menez, au lieu de passer votre vie à regarder votre cheval d’amour que vous aimez, et bien centrez vous sur votre contact.
Vous allez vous rendre compte que vous n’êtes pas du tout dans ce schéma là. Vous êtes soit sur l’une ou l'autre rêne, le contact quand il est bien, il y a de la tension. Trop dur ça ne veut rien dire. Le contact alors n’est pas dur, il est imperméable.
Donc, quand vous migrez dans l’espace vous faites attention à être en communication sur vos 2 rênes. Un truc qui est sûr, c’est qu’il faut arrêter de tirer. Parce que là, vous rentrez en résistance, quand il résiste un petit peu c’est normal, ça fait partie de la vie, mais sinon si c’est tout un cercle, il faut commencer à se poser des questions. Ce qu’il faut c’est que ça ne dure pas.
La théorie, viendra ensuite la pratique
Quand le cheval se durcit il va falloir proposer un exercice. Pas un exercice qui tombe du ciel. S’il se durcit pendant l’exercice il faut arrêter l’exercice et en proposer un autre. Je retourne vers ma zone de confort, et je reviens vers ma zone d’inconfort. Plus ça va aller, moins il va rentrer dans cette zone d’inconfort. Cette gentille petite conversation va commencer.
Il va devoir apprendre à marcher entre ces 2 rênes non pas parce que vous lui imposez, parce que vous lui proposez. Au début il ne va pas le faire. C’est ce que je disais tout à l’heure, quand le cheval va tomber vers la gauche, c’est mal mais c’est bien aussi, parce que le mal, vous allez le corriger pour que ça devienne bien, et le mal est une forme d’apprentissage. Il faut apprendre de nos erreurs. La réussite ne fait qu'affirmer, elle affirme quelque chose, quand le cheval est bien cela confirme l’apprentissage. Ça veut dire que quand vous le voyez faire une erreur, et bien vous dans votre tête il ne faut pas le transformer en négatif. En fait "ce que je t’apprends et bien c’est pas ça. Ouais c’est plutôt ça...."
Il est plus coopérant, mais là, quand il trotte il est comment ? Il est assez en avant ? Il est un peu éteint ? Tu sens qu’il t’emmène ? J’ai peur qu’il m’emmène de trop. Je suis d’accord avec toi, mais il faut qu’il t’emmène quand même un peu !".
Propos recueillis par Anne Calvez
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Remerciements à Anne et Renaud pour ces intéressantes contributions. Anne a promis de proposer à attelage.org les notes à venir d'un prochain stage. Parfait! nous attendons avec impatience.
D'autres questions pourraient être mises en discussion. Par exemple, comme le fait l'enseignant, le juge intègre-t-il une vision globale du cheval (impulsion, propulsion, équilibre, rectitude) lorsqu'il pose sa note ? Selon qu'il juge un "Club", un "Amateur" ou un "Elite" sa réponse ne sera pas la même, mais de quoi est composé la vision globale dans chacune de ces situations, sans oublier bien entendu les observables du protocole? Les reprises de dressage sont elles proposées "par morceau", dans un souci pédagogique pour un apprentissage du dressage du cheval, en correspondance avec l'échelle de progression? Ici la réponse est non, mais ce n'est que mon avis.
Voilà des sujets qui pourraient faire l'objet d'un prochain article. JCG