A la lecture des résultats de ce premier tour, et après visionné les débats en replay, lu les déclarations presse d'après tour, je m'interroge. En effet, je n'ai pas trouvé le candidat de la liste CAP digne d'un candidat à la présidence de la 3éme fédé sportive française, car il s'alignait beaucoup sur les idées de l'équipe sortante, avec quelques modifications qui ne sont en rien révolutionnaires pour l'élire. A croire que cette candidature n'a pas été mise en scène de façon à être sûr que les listes de SL allaient sortir victorieuses des urnes puisque les collèges sont élus non pas à majorité absolue mais à majorité relative, ce qui donne le résultat d'aujourd'hui. Sinon , pourquoi une telle attitude agressive vis à vis de la candidate de la troisième liste ? Diviser pour mieux régner, le schème machiavélique a bien fonctionné, alors que 56% des votants ont souhaité un changement. DENI DE DEMOCRATIE
Je ne commenterai pas plus la limitation des votants établie en 2017 par la présidence actuelle: clubs de moins de 23 licences exclus, dirigeants votant à la place des cavaliers.
Comme une nette majorité des votants a rejeté le Président sortant, la challenger a toutes ses chances pour le second tour.
La liste des collaborateurs ayant été élue à la majorité relative et non à la proportionnelle, on risque d'aboutir à un cas intéressant de cohabitation.
A quand le second tour ?