Il faut savoir qu'en 2017 fût voté une modification des statuts dont la suppression des droits de votre des petites structures (organisateurs d'activités équestres) applicable sur les dernières élections de 2019. Semble-t-il l'argument est de dire que ces structures ne cotisent pas au même titre que les clubs et clubs labellisés (différence entre adhérent et cotisant), mais j'ajouterai que ces "petites associations" participent à la vie fédérale très souvent en tant qu'organisateur et par l'achat de la licence FFE.
j'espère que dans ce texte d'Anne de Sainte Marie : "Reconnaître la valeur de chaque club, l'aider à faire de ses spécificités des atouts pour son entreprise, c'est renforcer la qualité." elle se souviendra de nos échanges par mail concernant ce problème de démocratie au sein de la FFE. Aujourd'hui seul certain type de cotisant donne ce droit d'expression mais si l'on regarde de près en prenant l'exemple du département du Lot les associations "organisateurs d'activités équestres" représentent près de 50 % des associations (24 organisateurs / 10 clubs -16 clubs labialisés). Je n'ai pas le ratio des licences de chacune de ces structures mais il est évident qu'une grande partie des licenciés n'a qu'un seul le droit celui de se taire !
John 46
-Effectivement par JeanClaudeGrognet (05/03/2020 09:02:19)
Ayant eu connaissance il y a quelque temps de cette modification des statuts , j'ai recherché sans succès sur le site de la FFe ( j'ai sans doute mal cherché) ce texte pour en faire part à la communauté. Tout comme John 46 je m'insurge contre la mise à l'écart d'une partie des acteurs du développement de l'équitation en général.
De toutes manières, les petites structures n'ont jamais pu peser bien lourd, vu que leurs droits de votes étaient proportionnels à leurs nombres de licences. Les grosses cotisations ne financent pas plus que les autres la FFE, vu qu'elles donnent le droit à un certain nombre de licences gratuites, le financement par cavalier étant à peu près identique.
On peut remarquer que les cavaliers, même des grandes structures, n'ont jamais droit à la parole: ce sont leurs dirigeants qui votent pour eux. Les petites structures sont plus souvent dirigées par de vrais pratiquants.
A part cela, Anne de Sainte-Marie ne pourra pas passer chez moi en Mars: ma région est confinée !
effectivement, le vote était proportionnel au nombre d'adhérent...alors dites moi pourquoi il y a eu ce changement dans les statuts : était-ce stratégique ? si cela ne l'était pas, pourquoi priver une minorité à son droit de vote ? Je reprends l'exemple Lotois dans les structures "organisateurs d'activités équestres" on en trouve aussi des petites qui donnent des cours car ils n'ont pas les moyens financiers de cotiser plus...et qui participent tout de même à la vie de notre sport...notre sport souffre financièrement et il est temps de faire tous ensemble un véritable débat démocratique et de réintégrer par le droit de vote le dynamisme des petites structures car comme vous le dites on y trouve souvent des vrais pratiquants !
Bonjour à tous,
En lisant vos commentaires, et ayant eu vent de modifications ministérielles quant à la présidence des fédérations ( à savoir le nombre restreint de mandat en tant que président), et vu le caractère despotique de la gestion de cette fédération, je pense qu'il serait bon que le ministère s'empare de ces changements statutaires qui font que l'équipe en place modifie les points qui pourraient lui porter préjudice lors des élections. A arranger les conditions de participation et de vote, on enlève le côté démocratique, le côté fédéral pour le bien du sport en général pour une population vers une dictature idéologique afin de conserver pouvoir, jeux d'influence de type mafieux (avec achats de votes contre argent, et oui!!!).
Aussi, je propose qu'un courrier soit envoyé à la ministre afin de proposer que les statuts de toutes les fédérations agréées par le ministère ( et donc leur ouvre le droit à des championnats olympiques) soient rédigés par le ministère et applicables sans négociation, ceci rendant la valeur universelle au sport, où l'on aurait un club, une association sportive, un organisateur soit légitimé dans son action éducative, avec 4 collèges - 1 collège enseignement, 1 collège formation continue des professionnels de l'enseignement et des bénévoles, 1 collège des organisateurs, 1 collège Haut Niveau).
Une structure dirigeante, un vote, comme dans les scop. Et peu importe le nombre de licenciés.
Mais comme dirait JCG, cela n'est que mon avis.
Il paraîtrait que le Ministère songerait à prolonger le mandat des Présidents jusqu'à près les JO càd 2021. Qu'en est il ? Oui il faut modifier les statuts et limiter à 2 mandats.
Pour compléter mes propos, je pense même que c'est le moment opportun du fait de la médiatisation des scandales sexuels dans différents sports de demander au ministère la refonte des statuts des fédérations olympiques, et bloquer à deux mandats de présidence et , ce dès cette olympique, de manière à nettoyer les fédérations des anciennes cultures, et permettre à de nouveaux visages, talents à préparer l'olympiade 2020-2024 de façon à ce que Paris 2024 puisse être le reflet d'un paysage sportif propre, assaini, éthique. HALTE AUX MAFIAS.