Seul le soleil n’a pas gagné !

         Six ans pour les vins de Touraine, c’est le bel âge, pour le concours de Reignac aussi !

         Et ce n’est pas le temps de non saison qui empêchera la réussite sportive et populaire de cet événement devenu en si peu d’années, incontournable.

         Oui, comme partout, il pleut à Reignac, mais pas toujours, de rares éclaircies (franchement soleil, c’est l’été, tu peux faire mieux..), des bourrasques de vents qui sèchent le terrain avant et après des averses dignes d’un mois de mars.

         Les terrains, dressage, maniabilité et marathon, supportent sans se défaire les 83 équipages au départ, c’est la gageure essentielle pour préserver les chevaux. La température leur convient très bien, et le vent évite les insectes agressifs, il faut toujours voir le côté positif ! D’autant que les spectateurs « du dimanche » ne boudent pas leur plaisir, même armés de parapluies ou couverts d’imperméables, pour rien au monde ils ne veulent rater le spectacle.

         Certes, le dressage, se déroule très plan-plan, disons que c’est à cause des tilleuls en fleur, dont les effluves apaisantes et endormantes embaument l’atmosphère !

         Il n’attire pas la foule… Sauf les élèves de l’école voisine qui habillent gaiement la levée, tribune naturelle et point d’observation novateur et optimal pour les juges en R et P.

Didier Garcia

         Mention spéciale à Valentine Verna qui présente son Balkan brillant, heureux de retrouver le rectangle de dressage. Eve a décidé qu’à Reignac, il participe juste au dressage et à la maniabilité, le temps de se remettre en jambe.

(On parle beaucoup de geste à propos de dressage, celui de gauche est le plus doux !)

Et prix d’honneur à Françoise Dubos, meilleur dressage du week-end.

Françoise, accompagnée de Julie, miss Sourire de bien des attelages à Reignac (aussi avec Valentine).

Restons un peu sur cette belle piste fleurie, encadrée par les barrières fraîchement peintes et les nouvelles cabines de juges très appréciées et utiles (pour protéger les chronos sur les obstacles de marathon le dimanche).

Axel Decourtye

Jean Pierre Barré

Fabrice Georgelin (et Julie !)

Edouard Menut Vaquié

Mélanie Bailliache

Jean-Charles Davoust, ses « petites souris » et un fouet artistique.

Jean-Pierre Verneau, pour son dernier concours.

 Louise Fillon, et derrière… Julie (grandes amies).

Virginie Winnepenninckx, meneuse heureuse aux guides de son épatant Master.

Yves Gibon

Daniel Fillon clôture la série de photos de dressage, à tout seigneur tout honneur.

Les épreuves sont largement couvertes par les médias :

attelage.org avec notre hôte JCG, et Attelage Magazine avec « Monsieur Pixelvisuel », Monsieur Martin qui termine un tour en France, de la Chabotterie (tradition) en Vendée, à Saumur et Reignac, avant de rentrer en Belgique.

         Toutes les photos de marathon déjà en ligne sur a.o, nous les devons au talent de Nadine Toudic. Une rencontre souriante avec « M. et Mme Chevalandrieu » !

Méli-mélo de photos :

Monsieur-le-Maire-que-le-monde-de-l’attelage-nous-envie est aux fourneaux, et partout !

Les juges reconnaissent sérieusement la maniabilité, mais dans la bonne humeur.

Patricia, spécialiste de la caméra, du haut de sa chaise d’arbitre datée du jour, surplombe la grande butte pour un angle de vue optimum.

Le vent vilain transforme la Suzanne aux yeux noirs en plante rampante.

L’incroyablement gaillard LanguageTimothy (26 ans) d’Heather Watt, aux couleurs dalmatiennes,

 1^er prix des bottes les plus fantaisistes !

Patrice Bagilet

« Monsieur Broubrou », artiste à l’imagination badine et taquine.

(Aquarelle parue dans la Renaissance Lochoise du 26 juin)