La volanta avait en principe une capote fixe. Celle-ci serait donc une quitrin, de Catherine qui désignerait un type de suspension. Ces 2 voitures étaient aussi appelées "calesa"
Voir de jolies photos sur http://www.youtube.com/watch?v=DZV3q4jOf7Q, à un ou deux chevaux ou mules, et même un attelage d'évêque
Le deuxième nom était bien Quitrin. Je connais les photos dont vous faites état mais ne connais pas la différence entre Volante et Quitrin !
Pouvez vous expliquer l'histoire de la suspension dérivée du nom Catherine ?
La capote est souvent représentée r
En effet le second nom est Quitrin Le mot Calesa devait être employé comme nous : une voiture une charrette etc sans préciser le modèle
Je connais le site mais n'ai pas vu la différence entre les 2 styles de voitures. Pouvez vous envoyer l'explication de la suspension qui dériverait du prénom Catherine ???
La volante des femmes élégantes était menée capote rabattue (au moins sur les gravures) pour voir les jolies tenues vestimentaires !
Merci
Voici une explication succinte de l'origine du mot quitrin:
16. Howe, Trip, 44-45; Richard J.Levis, Diary of a Spring Holiday in Cuba,
25. Throughout the text I use the term volanta because contemporary visitors
applied it generically to both volantas and quitrines. The main difference between
volantas and quitrines was that the quitrines had a top that could be folded back
whereas the volantas' top was fixed. Quitrines were more highly esteemed than
volantas. The term quitrin is a corruption of the Catherine-type suspension coils
used in both quitrines and volantas. Ney, Cuba en 1830, 29, n. 30 (note by Jorge
J. Beato Nunez): Ballou, Due South, 129-30; [Santa Cruz], Viaje, 210; Hazard,
Cuba, 176-77; [Woodruff], My Winter, 29-30, 48; Trollope, West Indies, 144;
[Wurdemann], Notes, 25.
Les deux voitures semblent avoir eu la même suspension : des lanières de cuir longitudinales, et un mouvement induit donnant rapidement le mal de mer. La volanta était surtout utilitaire, pour se déplacer dans les torrents de boue de la saison des pluies, d'où les roues pouvant dépasser 1,80 m de diamètre. La quitrin, plus tardive, était l'emblème, couteux, de la société aisée créole (c'est à dire blanche), et remisée dans le salon, à côté du piano. Le postillon était une caricature bariolée du postillon français.
Merci beaucoup de vos explications
Dans le hors série d'Attelages magazine sur les postillons, nous avions cité en "postillon de d'Aumont" fashionnable le fameux calesero l
Ces voitures pouvaient être attelées à un à deux ou à trois ; en réalité comme une chaise de poste
la localisation des passagers apparemment en avant de l'essieu devait faire porter un poids substantiel sur les brancards ou le timon, ce qui n'est pas très équilibré. Y avait il une possibilité de réglage ou des grooms se plaçaient ils à l'arrière?
A première vue, cela ne parait pas très optimal...
Y a t'il des explications à ce sujet ?